Archive | décembre, 2011

Mission Jeanne-d’Arc. Départ de Toulon en 2012

Mission Jeanne-d'Arc. Départ de Toulon en 2012. Brest n'est plus le port de départ naturel de la mission Jeanne-d'Arc. Les amoureux de la Jeanne s'apprêtaient pourtant à fêter le 100e anniversaire du premier départ de Brest. (Photo d'archives Le Télégramme)

Mission Jeanne-d'Arc. Départ de Toulon en 2012. Brest n'est plus le port de départ naturel de la mission Jeanne-d'Arc. Les amoureux de la Jeanne s'apprêtaient pourtant à fêter le 100e anniversaire du premier départ de Brest. (Photo d'archives Le Télégramme)

Brest perd un départ de tour du monde, et pas des moindres, puisque la mission Jeanne-d’Arc s’ébranlera,en mars2012,de Toulon. Il fallait s’y attendre.

 

Le précédent chef d’état-major de la Marine, Pierre-François Forissier, avait pourtant rappelé son attachement à la mission Jeanne-d’Arc, qui sert à l’ultime mise en situation des futurs officiers de Marine. Il avait rappelé l’importance symbolique de faire partir les élèves de Brest, à quelques encablures de leur école enracinée à Lanvéoc-Poulmic. Cela faisait presque 100 ans que les officiers-élèves partaient de Brest, près d’un siècle que les scènes touchantes sur les quais faisaient de Brest le port départ des plus belles circumnavigations militaires.

Logique comptable

Mais c’est vrai qu’en perdant le porte-hélicoptères en 2010 et en sollicitant les bâtiments de projection et de commandement (BPC) toulonnais, Brest s’imposait moins comme port de départ. Au-delà du symbole, faire remonter un navire de Toulon pour le faire repasser deux semaines plus tard au même endroit se justifie difficilement sur le plan comptable. La Marine avait pourtant effectué la manip’ l’année dernière en expliquant qu’un navire, quel que soit son trajet, est occupé à la mer de la même façon. Mais, cette année, la livraison du BPC Dixmude à la Marine, alors qu’il n’est toujours pas admis au service actif, bouscule les plans. Lenavire doit enchaîner une série de mises en situation et devra procéder à la qualification opérationnelle de l’équipage, avant de s’en aller. Ce n’est qu’à l’issue de cette campagneque le BPC sera admis auservice actif.

Un départ de moins

En faisant appel aux BPC toulonnais, la nouvelle n’est pas si étonnante que cela. Mais, pour la ville de Brest, la décision est dure à encaisser. En termes d’image et de rayonnement, le départ de la mission Jeanne-d’Arc est toujours un coup de projecteur valorisant, dans un contexte où la ville accentue ses efforts pour attirer les tourdumondistes de tout poil. Brest, ville de départ, fenêtre ouverte sur le monde! Avec ce départ de Toulon, le 5 mars, la mission Jeanne-d’Arc perd une partie de son âme. La frégate Georges-Leygues appareillera toujours de Brest, le 27 février, alors que le retour de la mission pour les deux navires est, pour le moment, prévu à Brest. On se souvient, l’année dernière, que les élèves avaient été débarqués à Toulon et que la mission s’était achevée à Brest sans marquer le coup.

Cent ans cette année

Que reste-t-il de la Jeanne-d’Arc et son esprit? Pour Jean-Jacques Messager, président des anciens marins de la Jeanne, le coup est dur mais les mots sont, comme d’habitude, des plus choisis. «C’était prévisible, en ces temps de restrictions budgétaires. Il faut une douzaine de jours pour faire l’aller-retour (avec trois jours de ravitaillement à Brest). Mais c’est dommage, alors que le premier départ de la Jeanne à Brest (le croiseur-cuirassé) a eu lieu en 1912, il y a pile 100 ans».

Article de Stéphane Jézéquel du 29 décembre 2011 – Le Telegramme

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Le BPC Dixmude et la FASM Georges Leygues formeront le groupe Jeanne d’Arc 2012

Arrivée du BPC Dixmude à Toulon le 13 juillet 2011 - © Marine nationale / JM Casanova

Arrivée du BPC Dixmude à Toulon le 13 juillet 2011 - © Marine nationale / JM Casanova

Partir loin, longtemps, en mission et en équipage, telle est la devise de la Mission Jeanne d’Arc 2012. Cette mission de formation constitue le premier déploiement de longue durée ainsi que le premier contact avec les opérations pour les officiers élèves de l’École navale et de l’École des officiers du commissariat de la Marine. Cette formule de formation au sein du groupe Dixmude / Georges Leygues offre la possibilité aux officiers élèves de découvrir, dès leurs études, l’interarmées et l’amphibie qui sont deux des enjeux stratégiques majeurs de l’environnement actuel.

Après le Tonnerre et le Mistral , c’est au Dixmude de prendre la relève de ses aînés pour assurer la Mission Jeanne d’Arc, profitant ainsi d’un déploiement multifacettes gagnant-gagnant. En effet, la Mission Jeanne d’Arc 2012 est l’occasion idéale de réaliser les essais en eaux chaudes dans l’océan Indien et en Atlantique sud du Dixmude (la phase 2 de la vérification des capacités militaires) , d’entraîner le groupement tactique de l’armée de terre aux opérations amphibies, de participer aux opérations dans les zones de déploiement du groupe et évidemment de former les officiers élèves de l’École navale et de l’École des officiers du commissariat de la Marine.

Le départ de la Mission Jeanne d’Arc est prévu début mars 2012, de Toulon.

Extrait du site Marine Nationale – Mise à jour : 20/12/2011 10:01

Frégate anti-sous-marine Type F 70 © Marine nationale - © Marine nationale

Frégate anti-sous-marine Type F 70 © Marine nationale - © Marine nationale

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Le groupe Jeanne d’Arc 2012 avec le Dixmude et le Georges-Leygues

L 9014 Dixmude

L 9014 Dixmude

Le BPC Dixmude et la FASM Georges Leygues formeront le groupe Jeanne d’Arc 2012 dont le départ est prévu début mars 2012, de Toulon. C’est ce qu’annonce la Marine nationale sur son site. La Royale précise que « la Mission Jeanne d’Arc 2012 est l’occasion idéale de réaliser les essais en eaux chaudes dans l’océan Indien et en Atlantique sud du Dixmude (la phase 2 de la vérification des capacités militaires), d’entraîner le groupement tactique de l’armée de terre aux opérations amphibies, de participer aux opérations dans les zones de déploiement du groupe et évidemment de former les officiers élèves de l’École navale et de l’École des officiers du commissariat de la Marine.« 

 

L’an dernier, 135 éleves avaient embarqué sur le BPC Mistral. 2012 marquera la 3ème édition de la « mission Jeanne d’Arc » avec un BPC et une frégate d’accompagnement.

Extrait du blog « Lignes de Défense » de Philippe Chapleau

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Jeanne d’Arc fait une première infidélité à Brest

Pour la première fois en cent ans, le traditionnel départ n'aura pas lieu à Brest mais à Toulon.

Pour la première fois en cent ans, le traditionnel départ n'aura pas lieu à Brest mais à Toulon.

Le groupe école des officiers élèves de la Marine partira de Toulon en mars, à bord du BPC Dixmude et de la frégate Georges Leygues. Brest était le port de départ depuis 100 ans !

 

Le départ de la mission Jeanne d’Arc est prévu « début mars 2012, de Toulon », selon la Marine nationale. Il s’agit du stage d’application à la mer des futurs officiers de Marine. Tous les ans, ils sont environ 130 à embarquer ainsi aux côtés de marins et officiers aguerris, pour répéter les exercices de commandement des manœuvres. En 2012, pendant quatre mois et demi, ils navigueront en océan Indien et océan Atlantique sud.

«Question de bon sens»

Pour Brest, c’est un premier rendez-vous manqué. Depuis cent ans les départs de missions école Jeanne d’Arc se sont fait de Brest. Mais le navire Jeanne d’Arc est désarmé depuis 2010. Et c’est le BPC Dixmude, basé à Toulon, qui prend la relève. Conçu par DCNS et construit à Saint-Nazaire par STX, ce bâtiment de 200 mètres sera livré à la Marine début 2012. À Toulon depuis juillet, « il doit s’entraîner avant son départ et ne pourra pas remonter à Brest », explique la Marine nationale.

« C’était à prévoir », a déclaré Jean-Jacques Messager, président de l’association des anciens de la Jeanne. « On aurait préféré Brest. Mais c’est une question de bon sens aussi ».

Engagement moral de la Marine

Depuis deux ans, pour préserver les symboles, la Marine a gardé le nom Jeanne d’Arc pour le groupe école (le BPC et la frégate qui l’accompagne). Aussi, « le chef d’état-major de la Marine s’est engagé moralement à effectuer les départs ou arrivées à Brest », rappelle Marine Monjardé, officier de presse au Sirpa Marine. « Pour le symbole et le rayonnement économique, la Ville de Brest y tient beaucoup, répondait l’amiral Forissier au printemps dernier. L’École navale se trouve à Brest. Par ailleurs, la place est plus contrainte à Toulon pour les cérémonies familiales. » Les principaux élèves sont effectivement ceux de l’Ecole navale à Lanvéoc-Poulmic, même si le stage touche aussi quelques éléments de l’école du commissariat de Marine, de l’école d’administration des Affaires maritimes, de l’école du service de santé des Armées, de Saint-Cyr, et une dizaine d’étrangers.

Moins de familles sur les quais

Depuis les années 1960, ces départs et arrivées, reportés de la Penfeld à Lanninon n’étaient déjà plus visibles du grand public. Mais les familles des marins y assistaient par dizaines, donnant lieu à de larges couvertures médiatiques d’embrassades et de mouchoirs agités. Plusieurs ministres et présidents y ont participé. Sans la « vraie » Jeanne, l’intérêt s’est émoussé. Une centaine de personnes seulement étaient au départ en 2010. En 2011, il n’y a même pas eu de cérémonie de retour, les élèves ayant débarqué de façon anticipée à Toulon.

Toutefois, le lien n’est pas complètement rompu entre Brest et la Jeanne. Les missions économiques menées par les élus, chefs d’entreprises et universitaires perdurent depuis 1992, en profitant d’une escale du groupe école (Émirats arabes unis l’an dernier). Et la Marine l’assure : cette année, « le retour se fera à Brest, fin juillet ».

Plus de navire-école dédié

Un navire-école de la Marine existait à Brest depuis 1864. Jean Bart, Donawerth, Renommée, Flore, Iphigénie et Duguay-Trouin se sont succédé dans cette mission. Dès 1912, le stage, appelé « croisière » puis « campagne » s’est fait à bord d’un bâtiment nommé Jeanne d’Arc (1). D’abord sur un croiseur cuirassé, puis sur un croiseur-école et enfin sur le fameux porte-hélicoptères, désarmé en 2010. Économies obligent, alors que la dernière Jeanne était en fin de vie (46 campagnes !), la Marine a choisi qu’il n’y aurait plus de navire spécialement dédié à la formation, mais que le stage aurait lieu de façon tournante, sur un bâtiment opérationnel.

Des BPC basés à Toulon

Les Bâtiments de projection et de commandement (BPC), ont pris le relais de la Jeanne. Tonnerre en 2009, Mistral en 2010, ce sera le Dixmude en mars prochain. Tous basés dans le port méditerranéen.

Dès lors, même si la conserve, la frégate accompagnatrice du groupe école Georges Leygues, est encore basée à Brest, la ville a perdu un lien direct naturel avec ces grands voyages autour du monde. Les 180 familles de marins du BPC sont toulonnaises. Elles étaient 450 à Brest pour la Jeanne.

Depuis le départ des porte-avions dans les années 1970, la flotte de surface a glissé vers Toulon, laissant à Brest la spécialité des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE).

Plus de 700 personnes en mission

Le groupe école compte environ 130 élèves, deux équipages de 195 personnes sur le Georges Leygues et 180 personnes sur le BPC. L’an dernier, il avait embarqué environ 200 militaires de l’armée de terre pour des exercices interarmées.

Voir la vidéo du dernier retour à Brest de la Jeanne en 2010.

(1) L’Edgar Quinet a peu de temps pris le relais à la fin des années 1920. Et une coupure dans la formation a eu lieu pendant la seconde guerre mondiale.

 

Extrait de Ouest-France du mercredi 27 décembre 2011

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L’Adroit achève sa mise en condition opérationnelle

L'Adroit à Toulon

L'Adroit à Toulon

Rentré hier après-midi à Toulon, le patrouilleur de haute mer L’Adroit a achevé une semaine de mise en condition opérationnelle. Prototype de la nouvelle gamme de PHM/OPV et corvettes de la gamme Gowind, le bâtiment, propriété de DCNS, qui l’a réalisé sur fonds propres, a été mis à disposition de la Marine nationale le 20 octobre pour une période de trois ans. Pris en main par son équipage, L’Adroit a quitté Lorient, où il a été construit, pour rejoindre Toulon le 24 novembre et être intégré à la Force d’Action Navale (FAN). Depuis, le PHM et son équipage ont donc subi un stage de mise en condition opérationnelle (MECO) dans le cadre de leur montée puissance, en vue d’une admission au service actif de L’Adroit au premier trimestre 2012. Le bâtiment réalisera ensuite ses premières missions opérationnelles. Celles-ci devraient intervenir en Méditerranée à partir du mois de mars. D’ici là, le second équipage du patrouilleur se sera formé aux côtés du premier équipage, les deux groupes d’une trentaine de marins devant se relever tous les quatre mois pour armer L’Adroit (le second équipage doit prendre le patrouilleur en main au mois d’avril).

 

Déploiement prévus en Méditerranée et en Afrique

Au printemps, L’Adroit effectuera donc ses premières missions en Méditerranée, un déploiement classique qui permettra aux marins d’éprouver leur nouvelle plateforme, longue de 87 mètres pour un déplacement de plus de 1400 tonnes, et de vérifier que le concept développé par DCNS répond aux besoins de la Marine nationale. A l’issue de cette phase, un déploiement est prévu au second semestre vers les côtes africaines. Ce voyage aura notamment une consonance commerciale puisque L’Adroit se rendra jusqu’en Afrique du sud pour une importante mission de représentation, DCNS proposant des Gowind à la marine sud-africaine. Il est ensuite question, pour 2013, de déployer le PHM en océan Indien, où il pourrait participer aux opérations de lutte contre le terrorisme, la piraterie et les trafics illicites, tout en poursuivant sa fonction de vitrine flottante au profit des industriels impliqués dans le programme, connu chez DCNS sous le nom d’Hermes.
A suivre, des photos réalisées sur L’Adroit par Jean-Louis Venne, qui permettent de compléter celles que nous avions diffusés en octobre suite à un reportage réalisé à bord.

 

Nouveaux matériels attendus

Le début d’année sera également consacré à la réception de nouveaux équipements. Ainsi, en janvier, une embarcation rapide ZH935 arrivera à Toulon. Dérivé de la future ECUME (ZH930) des commandos marine, ce bateau de 9.3 mètres, capable d’atteindre la vitesse de 47 noeuds, est prêté par Zodiac. Après une première campagne d’appontages et de décollages réalisés au large de Lorient en novembre, L’Adroit va également voir revenir à son bord le drone aérien Camcopter S-100, mis à disposition par le groupe autrichien Schiebel. Quant à l’artillerie, actuellement constituée d’un affût manuel de 20mm, les discutions se poursuivent entre DCNS et Nexter, afin que ce dernier mette à disposition un système Narwhal, canon télé-opéré de 20mm qui équipera les nouvelles frégates multi-missions (FREMM) de la Marine nationale.

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Bye Baille ?

Vue Intrépide

Vue Intrépide

That is the question 🙂

Hope the game is not over !

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DCNS prévoit de livrer le premier Mistral russe fin 2014

La plate-forme du navire doit être adaptée aux spécificités russes afin de pouvoir accueillir les hélicoptères Kamov. Crédit : Kamov

La plate-forme du navire doit être adaptée aux spécificités russes afin de pouvoir accueillir les hélicoptères Kamov. Crédit : Kamov

Le leader du naval militaire a débuté le transfert de technologie au chantier de l’amirauté de Saint-Pétersbourg.

 

 

 

 

Signé en juin, le contrat de livraison de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) à la marine russe, pour plus de 1 milliard d’euros, vient d’entrer en vigueur. Sa mise en œuvre pérennise 1000 emplois sur quatre ans à Saint-Nazaire chez STX, en charge de la coque, et chez DCNS, maître d’œuvre et fournisseur du système de missions de ces gros navires multifonctions de 21.500 tonnes. Thales livre pour sa part les ­systèmes de communication, notamment les radars.

Moscou a versé le premier acompte début novembre. Et la construction a débuté. «Nous travaillons sur l’adaptation de la plate-forme du navire aux spécificités russes, en particulier aux conditions climatiques et de navigation plus rudes avec par exemple le dégivrage partiel du pont d’envol. Afin d’accueillir les hélicoptères Kamov à double rotor, les hangars seront plus hauts que sur les bâtiments français», explique Yves Destefanis, directeur du programme BPC russes chez DCNS.

Au total, 40% de la coque seront sous-traités au chantier de l’amirauté de Saint-Pétersbourg, propriété du holding OSK. Il sera responsable de la fabrication de l’arrière du navire à partir des plans transmis par STX qui enverra sur place quelques-uns de ses spécialistes. STX fabriquera la partie avant du bâtiment et prendra livraison en Russie de la coque arrière qui sera remorquée jusqu’à Saint-Nazaire pour l’assemblage final.

«Couteau suisse» de la mer

Parallèlement, DCNS a débuté le transfert de technologie qui comporte trois volets. Le leader européen du naval militaire enseignera aux Russes les méthodes de construction moderne de bâtiments de surface qu’ils pourront réutiliser pour d’autres navires. «Ces techniques utilisées par tous les chantiers modernes permettent de gagner en efficacité», explique Yves Destefanis. Les autres volets concernent les systèmes de communication et de traitement de l’information.

DCNS prévoit de livrer le premier BPC fin 2014 et le second fin 2015. Dès lors la marine russe sera dotée de bâtiments jumeaux du Mistral et du Tonnerre -le Dixmude, le 3e BPC français sera livré début 2012- en service dans la marine française. «Porte-hélicoptères, bateau amphibie, navire de transport, hôpital flottant, centre de commandement… Le BPC, c’est le couteau suisse de la mer mais il a un plus: on peut utiliser plusieurs lames en même temps», témoigne le capitaine de vaisseau Gilles Humeau, ex-pacha du Mistral.

Désormais s’ouvre une nouvelle phase de négociations. La Russie a pris une option pour deux BPC supplémentaires dont la coque doit être intégralement construite en Russie. Après ce premier contrat à l’international et l’intervention en Libye où le Mistral et le Tonnerre ont donné «pleine satisfaction», d’autres marines s’intéressent au BPC.

Extrait du Figaro Economie

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