sous les flocons…
puis sous le soleil !
Vue en direct.
Posted on 31 décembre 2008.
Posted in Météo, VacancesCommentaires fermés sur Bonne année des Saisies
Posted on 26 décembre 2008.
Bon alors que fait le père noël ? Devait m’apporter une solution à mon problème de connexion à mon Active Directory via ADSI-Edit et LDAP SSL et … rien.
Posted in Boulot, Trop sérieux0 commentaire
Posted on 17 décembre 2008.
Ca bouge à l’Ecole navale … nouveaux CEMM et DIRCAB, CPSI tout neuf !
Fins de la Saison, la troisième saison bientôt planifiée. chuttttttttttttttttttttttttttttt…
Posted in Réserve0 commentaire
Posted on 15 décembre 2008.
« L’État nous a demandé de proposer des projets réalisables rapidement. Nous avons fait notre lettre au Père Noël. »
J’attends vos réponses 🙂
Posted in Marine1 Commentaire
Posted on 09 décembre 2008.
La Jeanne et le Georges repartent en mission
par LV Thomas Letournel
Mardi 9 décembre en fin d’après-midi, à l’issue d’une cérémonie de départ présidée par l’amiral Pierre-François Forissier, chef d’état-major de la Marine , le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc et la frégate Georges Leygues ont appareillé de Brest devant les nombreuses familles et amis. Cap sur la mer Méditerranée, la mer Rouge puis l’océan Indien pour une 44ème mission tournée vers les opérations dans une zone où les risques impliquant les intérêts stratégiques de la France et de l’Europe sont particulièrement élevés. «Cette mission est d’autant plus pertinente qu’elle va s’accomplir dans un contexte opérationnel» explique le capitaine de vaisseau Hervé Bléjean, le commandant du Groupe École d’Application des Officiers de Marine (GEAOM). Des opérations, les 120 officiers élèves ne devraient pas en manquer en navigant dans les eaux tumultueuses du Golfe d’Aden et du Golfe Arabo-Persique, en franchissant les détroits d’Ormuz et de Malaka, en longeant les côtes somaliennes. «Pendant cinq mois, nos élèves vont pouvoir se frotter à la réalité des trafics illicites, de l’immigration clandestine, de la piraterie et même du terrorisme» ajoute le commandant. Une réalité qu’ils toucheront du doigt s’ils apportent leur soutien à la coalition Enduring Freedom ou participent à la mission Atalante. Cette opération navale militaire a été lancée le 8 décembre par le conseil de défense de l’Union Européenne pour lutter contre la piraterie au large de la Somalie. Pour sûr, la navigation sera agitée mais cela n’empêchera pas les officiers élèves d’acquérir de nouvelles compétences professionnelles, d’accroître leur expérience du management et d’élargir leurs connaissances des zones stratégiques traversées.
Une fenêtre sur le monde
Plusieurs moments forts sont d’ores et déjà programmés. L’exercice European Cadet Training organisé entre les escales de Civitavecchia et Lisbonne sera probablement le plus intense. Neuf jours de mer et une sacrée responsabilité pour les élèves qui assureront seuls la conduite de la Jeanne d’arc et du Georges Leygues aux côtés de bâtiments européens et du porte-avions Charles de Gaulle accompagné du groupe aéronaval. Comment parler de moments forts sans évoquer quelques escales phare? Abu Dhabi notamment, où les officiers élèves pourront observer très concrètement la création de la future base navale française. Djakarta également, où la Jeanne servira de base avancée à une délégation de la communauté de Brest Métropole Océane en quête de partenariats avec les acteurs locaux. La Réunion enfin, où la Jeanne jouera aussi son rôle «d’aimant» avec le pôle mer Bretagne et l’association Louis Carlesimo dont l’objectif est d’apporter aux enfants victimes de maladies graves des moments d’évasion, de rêves et de bonheur à travers des voyages extraordinaires et des rencontres hors du commun. Des échanges, des rencontres improbables, des conférences d’ambassadeurs et de personnalités variées, …, c’est aussi ça la Jeanne. Une fenêtre ouverte sur le monde.
Un compagnon fidèle
On en viendrait presque à oublier le Georges Leygues, l’indispensable «conserve». Une frégate de lutte anti-sous-marine dotée d’équipements modernes et représentative de nombreux navires en service. Embarqués sur la frégate à tour de rôle, les officiers élèves pourront acquérir une vision globale des bâtiments de combat et découvrir un cadre d’emploi très proche de leur première affectation embarquée.
«Je souhaite à tous ces officiers élèves de vivre pleinement cette 44ème mission» déclare le commandant. «Qu’ils profitent de cette expérience unique pour développer leur personnalité et leurs propres exigences vis-à-vis d’eux mêmes. Ces cinq mois de mer doivent les conforter dans leur choix initiaux et les ancrer dans la réalité de la Marine.»
«Partir loin, longtemps, ensemble pour assurer la transformation des officiers élèves», la devise du GEAOM sera une nouvelle fois respectée. Nul doute qu’elle s’appliquera encore de longues années depuis la récente décision du chef d’état-major des armées d’effectuer les futures campagnes de formation des élèves-officiers à bord d’un BPC dès 2010.
(Source: Marine Nationale)
Le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc quitte Brest pour son avant-dernière mission
par Jean Guisnel
Le porte-hélicoptères R97 Jeanne d'Arc part aujourd'hui pour sa traditionnelle croisière annuelle de formation des officiers-élèves© MARCEL MOCHET / AFP
À part ça, la Jeanne d’Arc a dépassé l’âge canonique depuis un bon moment, puisqu’elle a été lancée en 1962… Surtout ces dernières années, son histoire tumulteuse a été marquée par de graves problèmes de santé, qui font que cette actuelle mission sera aussi l’avant-dernière, avant de partir à la casse. Non sans passer par la case désamiantage, qui ne sera pas simple ! Pour la remplacer, il fut un moment question de mettre sur cale un troisième bâtiment de projection et de commandement, voire de recourir à une solution humiliante (la location d’un ferry civil), ou de chercher à partager un navire avec une autre marine européenne. Finalement, la solution nationale est retenue, et ce sont les quatre navires qui se répartiront la mission à tour de rôle : le Mistral et le Tonnerre, la Foudre et le Siroco.
Publié le 09/12/2008 à 13:30 – Modifié le 09/12/2008 à 13:38 Le Point.fr
La Jeanne d’Arc appareille pour son avant dernière campagne
Le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc appareille aujourd’hui, de Brest, pour sa 44ème et avant dernière campagne d’application des officiers de marine. Après avoir passé plus de quatre décennies à sillonner les mers du globe, le célèbre bâtiment tirera sa révérence en 2010, à l’âge de 46 ans. Constitué de la Jeanne d’Arc et de la frégate Georges Leygues, le groupe école de la Marine nationale prend la direction cette année de la mer Méditerranée, de l’océan Indien et de l’Asie, pour une mission dont la durée est d’environ 5 mois. Des escales à Tripoli, Djibouti, Abu Dhabi, Cochin, Singapour, Djakarta, La Réunion, Aqaba, Civitavecchia puis Lisbonne sont prévues, les deux bâtiments devant être de retour à Brest le 5 mai 2009.
Aux côtés des équipages, 120 officiers élèves sont embarqués, issus des écoles de formation initiale de la marine (Ecole navale et Ecole des officiers du commissariat de la marine) mais aussi de l’Ecole d’administration des affaires maritimes. Une vingtaine d’officiers élèves étrangers sont également présents, représentant des pays de l’Union européenne et du monde entier.
Quant à l’avenir du groupe école, la transition aura lieu en 2010 à l’occasion du passage de la formation dispensée à l’Ecole navale de 3 à 4 ans. Sur cette année scolaire, la Jeanne d’Arc réalisera une première campagne, la seconde étant menée à bien par un Bâtiment de Projection et de Commandement (BPC) ou un Transport de Chalands de Débarquement (TCD).
Mer&Marine 09/12/2008
La Jeanne d’Arc a appareillé de Brest pour son avant-dernière campagne
BREST (AFP) — Le porte-hélicoptères Jeanne d’Arc, navire-école de la Marine nationale, a appareillé mardi après-midi de Brest pour sa 44e et avant-dernière campagne, alors que la succession longtemps incertaine de ce navire emblématique semble désormais réglée.
La campagne annuelle de la « Jeanne » emmènera cette fois-ci les 121 élèves officiers de 4e année de l’Ecole navale jusqu’en Indonésie, en passant par la Méditerranée, la Mer Rouge, le Golfe persique et l’Océan Indien, avec notamment des escales à Tunis, Abou-Dhabi et Jakarta.
Sur le chemin du retour, le porte-hélicoptères et la frégate Georges Leygues qui l’accompagne participeront en Méditerranée à un exercice avec d’autres Marines européennes (espagnole, italienne, allemande, portugaise), après des escales notamment à la Réunion et à Djibouti.
La Jeanne d’Arc sera de retour à Brest le 5 mai 2009.
La cérémonie de départ, à laquelle étaient invitées, selon la tradition, les familles des marins, a été présidée par le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Pierre-François Forissier, qui a évoqué la succession – longtemps incertaine – de ce navire qui a formé tous les officiers de la Marine française depuis 1964.
Le vieux porte-hélicoptères cher au coeur des marins sera remplacé à partir de 2011 par un des deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) de la Marine, le Mistral ou le Tonnerre, a déclaré l’amiral Forissier lors d’un point presse. Il a évoqué également la possibilité de construire un troisième BPC dans le cadre d’un plan de relance envisagé à court terme par le gouvernement.
En attendant, la Marine fera « deux campagnes en 2010 », a-t-il expliqué: « une campagne avec la Jeanne, qui sera la dernière, avec les élèves de 4e année, et une avec le Mistral ou le Tonnerre pour les élèves de 3e année dans le cadre du nouveau système » de formation des officiers, calqué sur celui des grandes écoles.
La promotion 2008-2009 qui a embarqué sur la Jeanne compte 121 élèves officiers, dont douze femmes et 17 élèves étrangers venus de 13 pays.
Parmi ces derniers, figure l’enseigne de vaisseau Yves Sokamté, un officier camerounais de 24 ans. Titulaire d’un Deug de physique, le jeune élève-officier a été reçu parmi les quatre premiers étrangers au concours de l’Ecole navale qu’il a intégrée voici trois ans.
« Ce passage sur la Jeanne est un apport inestimable », a souligné Yves Sokamté qui s’est spécialisé dans l’artillerie.
Il envisage un commandement dès son retour au Cameroun, dont la Marine compte moins de 3.000 hommes pour une quinzaine de bâtiments, principalement des patrouilleurs chargés de la surveillance du golfe de Guinée.
Sur le pont d’envol, quelques familles sont réunies autour des matelots, officiers mariniers et élèves officiers.
Jean-Marie et Fabienne, les parents d’un tout jeune matelot breveté de 21 ans sont venus du Valenciennois pour dire au revoir à leur fils, Clément Capliez, qui effectue son deuxième voyage sur la Jeanne. Ils n’avaient pas pu assister au premier départ.
« C’est ce qu’il veut faire. Nous, on est très fiers », explique son père alors que sa mère, très émue par ce premier voyage à Brest, estime que le départ est « aussi difficile pour la mère que pour la femme du marin ».
(source: AFP)
mercredi 10 décembre 2008
La Jeanne d’Arc en route vers des mers chaudes
Le navire-école a quitté Brest hier après-midi pour la Méditerranée, puis l’océan Indien.Une avant-dernière campagne qui promet d’être formatrice.
Les marins et leurs familles se pressent dans les coursives de la Jeanne d’Arc. Le navire-école s’apprête à quitter le port militaire de Brest pour sa 44e et avant-dernière campagne. Comme d’habitude, il sera accompagné par sa « conserve », la frégate Georges Leygues.
A bord des deux bâtiments, plus de 800 marins dont 117 officiers élèves. Ces derniers parachèvent leur formation en partant en campagne sur la Jeanne d’Arc. Ce sont les futurs cadres de la Marine nationale.
« Le moral est bon », assure le « pacha » de la Jeanne et commandant du groupe école, le capitaine de vaisseau Hervé Bléjean. « Partir, durer, comprendre », tels sont les mots d’ordre de la mission. Cette année, le navire-école met le cap sur des zones « chaudes », la Méditerranée puis l’océan Indien.
Les escales prévues s’appellent Abou Dhabi, Cochin, Singapour ou encore Djakarta. Tripoli, en Libye, figurait aussi au programme. Mais des considérations diplomatiques ont amené le report de cette escale chez le colonel Kadhafi.
Atmosphèreopérationnelle
Au cours de sa carrière, la Jeanne d’Arc a connu des destinations plus « glamour ». L’an passé, par exemple, son équipage avait passé le Nouvel An à New York. Rien de tel cette année. Le réveillon de la Saint-Sylvestre, ce sera en mer. Avant d’arriver à Djibouti.
Bienvenue dans le métier de marin ! « Nous naviguerons dans une zone du monde consacrée comme stratégique par le Livre blanc sur la défense », souligne Hervé Bléjean.
Bab el Mandeb, Ormuz, Malacca… La Jeanne d’Arc passera par ces détroits qui sont autant de goulots d’étranglement du trafic maritime mondial. Des endroits dangereux, souvent infestés de pirates. « C’est là que les officiers élèves percevront le mieux l’atmosphère opérationnelle », se réjouit le commandant Bléjean.
Johann Pelé, 30 ans, fait partie de ces officiers élèves issus de l’École navale. Le jeune enseigne de vaisseau voit la Jeanne d’Arc comme « le marche-pied entre le domaine théorique et le milieu opérationnel ».
Plus tard, il envisage de devenir coordonnateur tactique à bord des avions radar Hawkeye embarqués sur le porte-avions Charles de Gaulle. Pour lui, devenir officier de Marine, c’est d’abord accéder à un « haut niveau de responsabilité ».
Les équipages ont travaillé dur pour mettre en condition les deux navires du groupe école, qui accusent le poids des années. Beaucoup d’entre eux sont de jeunes marins. Sur la Jeanne d’Arc, la moitié de l’équipage est composée de « pompons rouges ».
16 h 30. La Jeanne d’Arc largue les amarres. Voilà déjà trois quarts d’heure que le Georges-Leygues a appareillé.
Les deux navires seront de retour le 5 mai 2009 à Brest. Nul doute que les marins embarqués à leur bord auront vécu, une nouvelle fois, une sacrée aventure.
Olivier MÉLENNEC.
(source: Ouest France)
A voir aussi:
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Posted on 08 décembre 2008.
Tiré de : Contribution significative de la Défense au plan de relance de l’économie française
Dixit le ministre de le Défense : Cette injection dans le tissu industriel se fera dans les secteurs de l’automobile, des constructions navales et des munitions. Vont être étudiées, dans le respect du modèle du Livre blanc, des commandes avancées de certains programmes d’armement tels que le VBCI (Véhicule blindé de combat de l’infanterie), l’hélicoptère Tigre, l’hélicoptère Caracal ou à mettre en chantier un 3ème bâtiment de projection et de commandement (BPC) qui rejoindra le Mistral et le Tonnerre. « L’intérêt d’une telle mesure, au-delà de son effet positif chez les industriels de défense, permettra aux PME sous-traitantes de garnir leurs carnets de commandes ».
Quelques commentaires de Catherine Magueur dans le Télégramme
La relance passe aussi par la Défense. Hervé Morin a indiqué, hier, que la contribution de son ministère au plan de relance économique, annoncé jeudi par Nicolas Sarkozy, était de 2,325 milliards d’euros. 500 millions seront alloués à un réglement rapide des factures du ministère vis-à-vis des PME, 245 millions permettront la remise à niveau du patrimoine immobilier. Le reste sera injecté dans l’industrie française, et notamment dans le secteur des constructions navales. Des commandes pourraient être accélérées ou avancées, comme celle de la mise en chantier d’un troisième BPC (Bâtiment de projection et de commandement), qui rejoindra le Mistral et le Tonnerre. Le BPC, c’est le couteau suisse, le bateau polyvalent interarmes. Son coût : de l’ordre de 400 millions d’euros. Le troisième BPC, c’est encore, selon certaines sources, à confirmer. Ce serait une bonne nouvelle pour la Marine, pour DCNS, bien sûr, et la sous-traitance. Le Mistral et le Tonnerre ont été construits à Brest et Saint-Nazaire. Le troisième pourrait suivre le même chemin.
Ca tomberait plutôt bien non vu ce qu’annonce Mer&Marine Un troisième BPC pour remplacer la Jeanne d’Arc ?
voir aussi
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Posted on 05 décembre 2008.
Dans la série, je m’amuse avec les navigateurs, je viens d’installer Lunascape
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Posted on 04 décembre 2008.
ben oui… ça mérite bien un (long) post 🙂
La fin de l’IPER (Indisponibilité périodique pour entretien et réparation) a été prononcée lundi 1er décembre, au terme de 15 mois de travaux à bord. Soit 2,5 millions d’heures de travail – la moitié effectuée par l’équipage et l’autre par DCNS et ses sous-traitants, précise la Marine. Les éléments combustibles des chaufferies nucléaires ont notamment été changés. L’équipage et le Groupe aérien embarqué vont pouvoir reprendre leurs entraînements.
Communiqué de la Marine:
Conformément à ses engagements contractuels, DCNS a signé avec le service du soutien de la flotte (SSF) le 1er décembre 2008 la fin de mise à disposition du porte-avions Charles de Gaulle , marquant la fin de son indisponibilité périodique pour entretien et réparation (IPER).
Après 15 mois, soit 2.5 millions d’heures de travail, dont la moitié a été effectuée par le bord et l’autre moitié par DCNS et ses sous-traitants, le porte-avions achève son IPER et entre dans la phase de remontée en puissance.
Ainsi, jusqu’au printemps 2009, l’équipage va se ré-entraîner. Le groupe aérien embarqué va mener une campagne de qualification de ses pilotes, et le porte-avions va mener des campagnes de qualification de l’ensemble de ses personnels de pont d’envol, du central opérations et de la passerelle. Ces qualifications seront obtenues suite à la réalisation/réussite d’exercices dont la difficulté sera croissante.
Cette IPER a permis de redonner du potentiel à l’ensemble des installations du porte-avions, notamment ses chaufferies nucléaires avec le changement des éléments combustibles. Elle a également permis de moderniser le navire, avec entre autre une évolution des systèmes d’information et de commandement (installation de Syracuse III), ainsi qu’une adaptation aux armements attendus en 2009 (nouveaux missiles de dissuasion ASMPA et de croisière SCALP-EG notamment, Rafale au standard «F3»).
L’IPER du porte-avions Charles de Gaulle avait commencé le 1er septembre 2007. Sous la maîtrise d’ouvrage du Service du Soutien de la Flotte (SSF), le maître d’oeuvre DCNS a respecté la durée de 15 mois qui avait été contractuellement fixée par la Marine.
(source: Marine Nationale)
Communiqué de DCNS:
Fin des travaux industriels de remise en état et de modernisation du Porte-avions Charles de Gaulle : Un chantier industriel hors du commun
Le 1er décembre 2008 a marqué la fin des travaux industriels de maintenance et de modernisation du porte-avions Charles de Gaulle. Mené à un rythme soutenu, ce chantier a duré 15 mois comme prévu, sous la maîtrise d’œuvre de DCNS. Le Groupe a coordonné avec succès les interventions de l’ensemble des acteurs (entreprises sous-traitantes, équipage du porte-avions Charles de Gaulle et Atelier Militaire de la Flotte).
Les travaux du porte-avions Charles de Gaulle avaient pour objectif de redonner du potentiel à l’ensemble des installations du bâtiment, notamment ses cœurs nucléaires avec le changement des éléments combustibles, mais aussi de moderniser le navire avec une évolution des systèmes d’information et de commandement et une adaptation aux armements attendus en 2009 (Rafale au standard “F3”, nouveaux missiles ASMP-A et Scalp naval notamment).
« Grâce à une organisation industrielle sans faille, les travaux de longue durée du porte-avions Charles de Gaulle réalisés sous maîtrise d’œuvre DCNS ont été menés dans les délais et les coûts impartis, tout en maintenant de bonnes conditions de travail et de sécurité » indique Bernard Planchais, Directeur Général Délégué de DCNS. Sur le plan technique, ce projet représente une première majeure avec le rechargement de deux chaufferies nucléaires qui font l’objet de mesures de sécurité draconiennes pour garantir une sécurité parfaite. Cette organisation représente également un bel exemple de mise en commun de compétences. L’opération a été réalisée en partenariat avec la Marine, le Service de Soutien de la Flotte et l’équipage ainsi que de nombreuses entreprises partenaires au premier rang desquelles AREVA TA, sans compter tous les établissements de DCNS. Bernard Planchais ajoute : « Ce succès témoigne du professionnalisme de toutes les équipes engagées dans ces travaux et de la capacité de DCNS à relever les défis les plus ambitieux. »
Après seulement 15 mois de travaux, conformément à ses engagements contractuels, DCNS a remis à disposition de la Marine nationale le porte-avions Charles de Gaulle. Ce dernier entre maintenant dans la phase de remontée en puissance opérationnelle.
Quelques chiffres résument l’ampleur de ce chantier exceptionnel tant du point de vue humain que technique :
Durée des travaux industriels :
• 3 ans de préparation
• 15 mois de chantier
Nombre d’heures de travaux : 2 530 000 heures
• 1 200 000 DCNS et sociétés sous-traitantes
• 1 200 000 Equipage du porte-avions Charles de Gaulle
• 130 000 Atelier Militaire de la Flotte (AMF)
Effectifs : 1 700 hommes
• 600 collaborateurs de DCNS et sociétés sous-traitantes
• 1 000 membres d’équipage du Charles de Gaulle
• 100 personnels de l’AMF
80 000 tâches planifiées à réaliser
Divers :
• 40 tonnes de peintures (décapées et appliquées)
• Plus de 80 km de câble tirés
• Remplacement de 32 éléments combustibles sur chacune des 2 chaufferies nucléaires
Coût du chantier : 300 M€
Le détail des principaux travaux effectués :
Le calendrier des travaux effectués sur les installations nucléaires a ordonné le déroulement de l’ensemble du chantier. Ainsi, pendant le remplacement des cœurs des 2 chaufferies nucléaires et le contrôle de l’ensemble du système de production de vapeur, de très nombreuses tâches ont pu se dérouler sur les autres installations du navire.
Des machines jusqu’aux hélices, l’ensemble de la propulsion a été visité et contrôlé. Les 11 000 m2 de carène ont été entièrement décapés puis repeints. Ces travaux de peinture ont été complétés avec la rénovation de 7 800 m2 du pont d’envol. Pour ces 2 opérations, DCNS a utilisé, à grande échelle, un procédé écologique de décapage hydraulique projetant de l’eau sous pression. Cette nouvelle technique qui permet de réduire significativement les déchets avait été qualifiée préalablement par DCNS sur la frégate Dupleix de la Marine nationale.
Toutes les installations permettant le catapultage ou l’appontage des avions ont été visitées. Le changement de trois usines de réfrigération, répondant aux nouvelles normes environnementales, a nécessité la percée de plusieurs brèches dans la coque pour les en extraire et y installer les nouvelles.
DCNS a également conduit les travaux de modernisation concernant l’adaptation du porte-avions Charles de Gaulle aux spécifications du Rafale F3. Les systèmes d’information et de communication ont bénéficié de la dernière évolution de la technologie. Le débit de communication par satellite a été très largement augmenté avec Syracuse III. Ainsi, les transferts directs et rapides des informations entre le bâtiment de la Marine et les avions seront simplifiés. Plus de 80 kilomètres de câbles tirés à bord du navire ont aussi permis l’installation de la téléphonie IP permettant, en particulier, de déployer un réseau internet.
En 15 mois, entre le 1er septembre 2007 et le 1er décembre 2008, DCNS a su mener à bien au service de son client la Marine nationale ce chantier d’exception, qui renforce ses capacités de services.
DCNS en bref
Le groupe DCNS est un acteur européen de tout premier plan sur le marché mondial des systèmes navals de défense. Pour répondre à une demande de plus en plus globale et intégrée, DCNS assure la maîtrise d’œuvre des navires armés et leur soutien, en s’appuyant tant sur ses moyens propres de développement, de commercialisation et de réalisation que sur des partenaires sélectionnés. Pour maîtriser la complexité des navires armés, DCNS fait jouer son expertise de l’architecture navale, de l’ingénierie des principaux systèmes du navire armé, de la conduite des chantiers d’assemblage et d’intégration, de la réalisation d’équipements spécifiques et du soutien au service opérationnel. Le groupe DCNS compte 13 000 collaborateurs dont environ 3 000 ingénieurs et réalise un chiffre d’affaires d’environ 2,8 milliards d’euros.
(source: DCNS)
Posted in Charles de Gaulle1 Commentaire
Posted on 02 décembre 2008.
Y’a des jours où c’est galère … les jours en i généralement.
Ces jours là on se demande même si on parle micromachin ou nulix ! et on se dit que si on avait su on aurait travaillé à l’école ou qu’on aurait été mieux chouf major sur le Ouistreham 🙂
Sale vie de cliqueur ! Vivement la prochaine
Posted in Boulot, Trop sérieux2 Comments
Posted on 02 décembre 2008.
sur fessBouc, cops’d’avant, linKeudIne, Via(gra)deo mais aussi contactable via skype, messenger, jabber… mais toujours pas au gouvernement.
Et pour l’apéro le mieux serait quand même de passer à Lostihuel ou au « Sulniac » place de l’église (le meilleur réseau social)
Posted in N'importe quoi7 Comments